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mardi 14 mai 2019

Ariel Case, Zimbabwe (1994): A neglected Hypothesis or disregarded Assumption... (In French).

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(Version de Travail mise en ligne et sujette à modifications)




Un de nos billets et recherche la plus consultée sur ce blog est celui consacré au cas mythique (dans le microcosme ufologique) d'Ariel School. N'hésitez pas à le relire !

Dans celui-ci, nous avons avancé bien des contre-tons, et principalement, mais pas seulement, que la méthode d'entretien et de recueil des témoignages ou des dessins, auprès des jeunes enfants, était "désastreuse", en ce sens qu'elle est très loin des standards de la criminologie ou de l'entretien en psychologie (notamment envers le jeune enfant ou pré-adolescent/adolescent).

Du fait des séances d'entretien collectifs - alors qu'ils auraient dû être individuels - où les enfants s'entendent les uns les autres; du fait des "debrief" entre adultes que les enfants entendent; du fait que les tâches demandées aux enfants sont faites à l'école, parfois "au tableau" et peuvent alors se comporter comme des exercices scolaires où l'enfant doit produire quelque chose et faire plaisir à l'autorité/adulte; du fait de questions à choix forcé, où l'enfant se sent comme devant choisir une proposition (quitte à se contredire ensuite). Et bien d'autres contre-tons qui font ou feraient "frémir"  n'importe quel psychologue ou criminologue.

Ainsi, les enfants qui déclarent n'avoir rien vu (comme Oriana) vont pourtant produire un dessin avec un être ou un engin. Ou encore, la thématique écologique si chère à John Mack est présente dans les narratifs produits devant John Mack, alors que ceci était totalement absent dans les narratifs produits auprès de Cynthia Hind.

Au total, nous avons voulu, et réussi je pense, à pointer que l'apparente "homogénéité" des récits et dessins, pouvait être le simple produit d'une contamination psychosociologique. Je pense que ce précèdent  billet démystifie totalement le cas et sa solidité.

A ce titre, je pense qu'il est et serait inutile d'aller plus avant, et que le "sceptique" n'a pas ou plus à se prononcer sur le stimulus que certains des enfants auraient sans doute vu ou aperçu.
Mais, je suis intimement convaincu qu'un stimulus visuel a bien existé et a généré cette (non) affaire.

Et donc, quel stimulus aurait pu voir les enfants et qui les aurait, légitimement, surpris ?

Il existe une piste de recherche, initialement proposée et discutée par et avec "Nab Lator". Encore lui.


Quelques éléments, d'abord :


- Certains dessins ou éléments des narratifs des enfants, évoquent une sorte d'être qui ressemble à un "hippie/rastaman", avec des lunettes et des longs cheveux (dreadlocks ?)...









- Et l'engin dessiné, ressemble parfois à une sorte de caravane (américaine)...




Et donc ?


En 1994, justement, il se trouve que Thomas Mapfuno et son groupe, étaient justement en concert près d'Harare.






Il se trouve également que la "coiffe" rasta (dreadlocks) était malvenue, mal vue et rare en 1994, et au Zimbabwé. Ces deux liens nous paraissent utiles :

Lien 1

Lien 2


Alors, les enfants auraient-ils été légitiment surpris par un "rastaman" et ses dreadlocks, ayant parqué momentanément ou non sa caravane, près de l'école, pour assister ou comme musicien à ces concerts ? A suivre !


Gilles Fernandez, May 2019.

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