"One curious feature of the post 1897 airship waves was the failure of each to stick in historical memory. Although 1909, for example, brought a flood of sightings worldwide and attendant discussion and speculation, contemporary accounts do not allude to the hugely publicized events of little more than a decade earlier."
(Clark 2000, 123) .
“With a single unsatisfactory exception*, no eyewitness was ever interviewed even in the 1950’s, when some were presumably still living."
(Clark 1998, 37).
*The "single unsatisfactory example" Clark cites is a former San Francisco Chronicle employee interviewed via telephone by Edward J. Ruppelt in 1952. Ruppelt wrote that the man "had been a copy boy ... and remembered the incident, but time had cancelled out the details. He did tell me that he, the editor of the paper, and the news staff had seen 'the ship', as he referred to the UFO. His story, even though it was fifty-six years old, smacked of others I’d heard when he said that no one at the newspaper ever told anyone what they had seen; they didn’t want people to think they were 'crazy.'
From: The Amazing Airship of 1896 by James L. Cambias.
What if the 1896/97 airship wave was in part or has as an inside variable, a contemporary "psychological warfare campaign" against the Spanish and Cuba when you contextualize the period?
And then, explaining why, there will be no mention a decade later, to support the 1909 airship wave in newspapers?
Clic to enlarge.
What if the 1896/97 airship wave (and mainly in California where the wave will start) was in fact (and in a part) a psychological warfare "orchestrated" by some Californian politicians or local influent individuals, in order to stay they have flying machines crossing the sea and that might bombard Cuba?
An excerpt of Solving the 1897 Airship Mystery by Michael Busby.
What if such local (California) Politicians and local influent individuals were in charge (directly or non-directly) of the contemporary Californian Newspapers by another coincidence ?
Stay tuned to "crack" and explain, by contextualization and more, the 1896/97 Airship Wave.
Myself early considered the video was not so very fascinating or astonishing (sexy!) and may be only involving FLIR camera training by pilots (for example, in Science et Vie Junior, July 2018, but in French).
Yes, people must realize that Infra Red camera are distorting the initial - and trivial - prosaic stimulus because reflecting NOT the physical shape, but ONLY the heat... And we got an UFO! (by projective elaborations and transformations, such IR video acting "like a Rorschach test").
(Version de Travail mise en ligne et sujette à modifications)
Un de nos billets et recherche la plus consultée sur ce blog est celui consacré au cas mythique (dans le microcosme ufologique) d'Ariel School. N'hésitez pas à le relire !
Dans celui-ci, nous avons avancé bien des contre-tons, et principalement, mais pas seulement, que la méthode d'entretien et de recueil des témoignages ou des dessins, auprès des jeunes enfants, était "désastreuse", en ce sens qu'elle est très loin des standards de la criminologie ou de l'entretien en psychologie (notamment envers le jeune enfant ou pré-adolescent/adolescent).
Du fait des séances d'entretien collectifs - alors qu'ils auraient dû être individuels - où les enfants s'entendent les uns les autres; du fait des "debrief" entre adultes que les enfants entendent; du fait que les tâches demandées aux enfants sont faites à l'école, parfois "au tableau" et peuvent alors se comporter comme des exercices scolaires où l'enfant doit produire quelque chose et faire plaisir à l'autorité/adulte; du fait de questions à choix forcé, où l'enfant se sent comme devant choisir une proposition (quitte à se contredire ensuite). Et bien d'autres contre-tons qui font ou feraient "frémir" n'importe quel psychologue ou criminologue.
Ainsi, les enfants qui déclarent n'avoir rien vu (comme Oriana) vont pourtant produire un dessin avec un être ou un engin. Ou encore, la thématique écologique si chère à John Mack est présente dans les narratifs produits devant John Mack, alors que ceci était totalement absent dans les narratifs produits auprès de Cynthia Hind.
Au total, nous avons voulu, et réussi je pense, à pointer que l'apparente "homogénéité" des récits et dessins, pouvait être le simple produit d'une contamination psychosociologique. Je pense que ce précèdent billet démystifie totalement le cas et sa solidité.
A ce titre, je pense qu'il est et serait inutile d'aller plus avant, et que le "sceptique" n'a pas ou plus à se prononcer sur le stimulus que certains des enfants auraient sans doute vu ou aperçu. Mais, je suis intimement convaincu qu'un stimulus visuel a bien existé et a généré cette (non) affaire.
Et donc, quel stimulus aurait pu voir les enfants et qui les aurait, légitimement, surpris ?
Il existe une piste de recherche, initialement proposée et discutée par et avec "Nab Lator". Encore lui.
Quelques éléments, d'abord :
- Certains dessins ou éléments des narratifs des enfants, évoquent une sorte d'être qui ressemble à un "hippie/rastaman", avec des lunettes et des longs cheveux (dreadlocks ?)...
- Et l'engin dessiné, ressemble parfois à une sorte de caravane (américaine)...
Et donc ?
En 1994, justement, il se trouve que Thomas Mapfuno et son groupe, étaient justement en concert près d'Harare.
Il se trouve également que la "coiffe" rasta (dreadlocks) était malvenue, mal vue et rare en 1994, et au Zimbabwé. Ces deux liens nous paraissent utiles :
Alors, les enfants auraient-ils été légitiment surpris par un "rastaman" et ses dreadlocks, ayant parqué momentanément ou non sa caravane, près de l'école, pour assister ou comme musicien à ces concerts ? A suivre !
Une vidéo à propos de l'affaire Roswell est apparue récemment sur la toile. Je la recommande, tant, et toute modestie mise à part, il est rare que je n'abandonne pas au bout de quelques minutes d'écoute, quoi que cela soit concerné à Roswell ces derniers mois. C'est remarquable qu'une personne, et en si peu de temps d'immersion sur l'affaire, et en moins d'une demi-heure, offre un si pertinent produit final. Chapeau, vraiment...
Et puis, mon nom est mentionné, c'est forcément "qu'elle est bien" ! (Auto-dérision).
Elle a fait naître quelques commentaires ici et là, comme sur la page Facebook UFO-Scepticisme, mais aussi sur le forum de même nom.
J'ai répondu à quelques objections, demande d'informations, etc. dans ces fils, par l'intermédiaire d'amis (car j'ai moins de temps - et de passion/motivation - pour ce hobby, qu'avant).
Mais aussi parce que mon nom était mentionné et mon ouvrage parfois critiqué, alors que j'ai déjà répondu, ou tenté de répondre, à ces critiques par le passé.
Mais l'ufologie, et en particulier, commenter l'affaire Roswell, c'est un peu se réveiller chaque matin comme dans le film Un jour sans Fin...
Dans les objections, une d'elle et tout à fait légitime de prime abord, à la thèse Mogul et posée dans la discussion plus haut, on trouve, de la part d'un internaute :
Par ailleurs, il est tout de même étrange que dans son "Roswell report" de 1994, d'environ 1000 pages, l'Armée de l'Air n'ait pas pu produire un seul document (procès verbal ou autre) prouvant qu'elle avait effectivement récupéré un train de ballons Mogul sur le ranch Foster.
Certes. Mais il convient aussi avant tout de se demander où se trouveraient de tels documents et ce qu'ils sont ou seraient devenus si toutefois potentiellement existants (notamment pour des vols service qui ne faisaient pas l'objet de rapport écrits, voir ce précèdent billet relayé outre-Atlantique et une de mes trouvailles. Cocorico !).
Toute modestie mise à part encore, cette question a déjà été examinée dans la littérature consacrée, et j'en ai déjà causé ici ou là. La question est donc, légitime, mais pas vraiment neuve.
Tout d'abord, il me semble toujours bon de rappeler qu'en réalité, ce n'est pas l'Armée Américaine qui proposa l'hypothèse Mogul pour rendre compte des débris de Roswell, la première.
Mais deux ufologues, à savoir Robert G. Todd et Karl Plock, et ce, indépendamment l'un de l'autre, au début des années quatre-vingt-dix . Lire "mon" chapitre, titré L'armée sort Mogul d'un Chapeau ? dans mon ouvrage qui est en open source et donc, ce qui ne vous oblige à ne rien débourser, pour s'en convaincre, ou non.
Le premier de ces deux investigateurs, Robert G. Todd, a justement été en quête de trouver un tel document. Il en a fait part notamment, dans un de ses numéros de son "journal de la bouse de vache" / the Cowflop Quaterly.
A savoir, le numéro 5 (du 5 juillet 1996), qui est justement consacré à la recherche de documents historiographiques concernant Roswell.
C'est un "très rare" en version courrier de l'époque, mais on peut encore le trouver en version numérique sur ce lien.
Todd y explique avoir passé 5 ans et demi de sa vie à, entre autres, rechercher tout document montrant que le vol numéro 4 - ou quelque autre - du projet Mogul, est responsable des débris.
Pour lui, là où cela pourrait avoir été indiqué historiographiquement avec un maximum de probabilité, sans en être toutefois certain, ce serait dans deux archives. A savoir :
La boîte d'archives dite 00 des projets Sign-Grudge 1947-1960.
La boîte d'archives dite MIX-1011 - Rockfish, Mogul projects acoustical research 1946-1950. Nb: Rockfish est le second nom qui fut donné au projet Mogul.
Ces deux boîtes d'archives sont pertinentes ici, car elles contiendraient des correspondances avec l'Air Materiel Command (la seconde concerne justement les deux premiers projets dédiés aux OVNI aux USA). Et l'Air Materiel Command était très impliqué dans tout ce qui concernait les "soucoupes volantes" à cette époque.
Aussi, les débris de Roswell, auraient été envoyés et identifiés à l'Air Materiel Command (entre autres parmi d'autres organismes).
Il y a donc toute chance que si les débris de Roswell ont été identifiés comme du matériel ballon et cibles-radar de l'équipe de la New York University en charge du projet Mogul, et qu'un document en atteste, c'est dans ces archives qu'il se trouve...
Ces documents étaient stockés aux archives de St-Louis, Missouri (National Personnel Records Center) depuis Août 1960, au sixième étage, lors de ses recherches.
The NPRC records fire of 1973 Up to 18 million military records were engulfed in flames
Bien avant, donc,que la grande fanfare de Roswell ne débute (post-1978, voir mon ouvrage).
Cela expliquerait, en tout cas pour moi, pourquoi les investigateurs ne trouveront jamais rien, historiographiquement, confirmant à 100 % que le vol Mogul du 4 juin (ou celui du 29 mai 1947) explique ces débris.
Et donc pourquoi l'équipe ayant rédigé le gros rapport de l'URSAF, a été "incapable" de produire un tel document, malgré d'intenses recherches (voir mon ouvrage, à nouveau).
Idem.
Que les auteurs sensationnalistes à propos de Roswell, passés ou à venir, en soient également rassurés !